Le collage, pour moi, c’est la liberté totale. Je peux coller n’importe quoi : cartes anciennes, photos, dessins, retailles de tissu, papiers recyclés. J’utilise des fragments de réalité tangible pour créer un nouvel univers où les couleurs, les textures et les symboles culturels se mélangent et dansent ensemble, formant de nouveaux récits, créant des connexions impromptues dans le temps et dans l’espace— vibrantes, poétiques, et positive.

Si vous pensez qu’il n’y a pas de message politique là-dedans, vous vous trompez. C’est un choix.

Je m’inspire de chaque pays où je vis, rencontrant toujours des personnes différentes qui me partagent leur savoir, leur culture. J’utilise l’art pour créer des liens, pour donner une voix à ce que j’apprends d’eux. Quand des femmes quechua en Amazonie m’apprennent à fabriquer du papier à base de banane, ou qu’un chauffeur vietnamien me raconte son histoire, en roulant sur sa moto à travers les champs de riz— c’est de ça que je veux parler.

On met trop l’accent sur ce qui ne va pas dans le monde. Je choisis de regarder ailleurs. De recoller ce qui mérite d’être préservé : les étoiles, la nature au couleurs infinies, les motifs porteurs de sens, l’amour sauvage, et les communautés qui se soutiennent.

Quand quelque chose de beau émerge de mes expérimentations, je me sens victorieuse. Cela prouve que le temps, la géographie, la culture ne sont pas des barrières à la cohabitation et à la paix. Dans les contrastes naissent les histoires les plus puissantes.

Dréa est une collagiste nomade, née au Canada.

Créer est une aventure, c’est la jeunesse et la liberté.
– Simone de Beauvoir, La Force des choses

Le collage, pour moi, c’est la liberté totale. Je peux coller n’importe quoi : cartes anciennes, photos, dessins, retailles de tissu, papiers recyclés. J’utilise des fragments de réalité tangible pour créer un nouvel univers où les couleurs, les textures et les symboles culturels se mélangent et dansent ensemble, formant de nouveaux récits, créant des connexions impromptues dans le temps et dans l’espace— vibrantes, poétiques, et positive.

Si vous pensez qu’il n’y a pas de message politique là-dedans, vous vous trompez. C’est un choix.

Je m’inspire de chaque pays où je vis, rencontrant toujours des personnes différentes qui me partagent leur savoir, leur culture. J’utilise l’art pour créer des liens, pour donner une voix à ce que j’apprends d’eux. Quand des femmes quechua en Amazonie m’apprennent à fabriquer du papier à base de banane, ou qu’un chauffeur vietnamien me raconte son histoire, en roulant sur sa moto à travers les champs de riz— c’est de ça que je veux parler.

On met trop l’accent sur ce qui ne va pas dans le monde. Je choisis de regarder ailleurs. De recoller ce qui mérite d’être préservé : les étoiles, la nature au couleurs infinies, les motifs porteurs de sens, l’amour sauvage, et les communautés qui se soutiennent.

Quand quelque chose de beau émerge de mes expérimentations, je me sens victorieuse. Cela prouve que le temps, la géographie, la culture ne sont pas des barrières à la cohabitation et à la paix. Dans les contrastes naissent les histoires les plus puissantes.

Dréa est une collagiste nomade, née au Canada.

Créer est une aventure, c’est la jeunesse et la liberté.
– Simone de Beauvoir, La Force des choses